Mot de départ à la fin du congrès
Mesdames et Messieurs.
Un mot très rapide, sachant que le TGV n’attend pas et que trop de discours tue les discours. Et je vais simplement vous dire 2 petites remarques.
La première, c’est que hier, j’ai employé le mot « amour », le mot « sensuel », le mot « charnel »… Vous avez compris que je parlais avec mes tripes, avec mon cœur et avec des images d’enfance. Je crois que j’ai voulu parler autrement, j’ai voulu être autrement. Et dans le monde politique, ce n’est pas normal d’être autrement. C’est difficile d’être autrement, mais je peux vous garantir, que c’est bon d’être différent.
La deuxième chose, c’est que je sais que lundi matin, je vais retourner au Conseil Général et que le Président Dupilet va me dire : « Viens voir ici ! » Amour, il y a toujours un coté séduction et il va me dire : « Quel est le résultat de ces journées ? ». Et je vais lui dire très honnêtement : « Président, pour les paysages, la séduction, je crois qu’on a réussi à 100%. Pour la convivialité, on a réussi à 90%... Il y a toujours 10% de grincheux. Pour la restauration et le manger, à mon avis, on a réussi à 60%... parce qu’il y a 40% des gens qui nous en veulent parce qu’ils ont pris des kilos. Par contre, la confrérie de la bière a gagné 50 membres.
Tout cela pour vous dire, Mesdames et Messieurs, que les « chtis et les picards » vous ont accueillis avec leur cœur… Nous vous remercions simplement de nous avoir regardés.
Bon retour à vous tous.
/ Hervé Poher